Au festival de chant de marins, si j’ai surtout été intéressé par les « vieilles coques », vieux gréements et autres bateaux traditionnels, il ne faut pas oublier le spectacle. Je n’ai pas assisté aux concerts — ils étaient nombreux —, j’ai simplement flâné sur les quais l’après-midi, et j’ai pu saisir quelques animations.
Il y avait tellement de monde autour des Gabiers de l’Odet que j’ai dû tenir mon appareil à bout de bras et photographier sans viser. C’est bien aussi, c’est toujours une expérience intéressante, la photographie sans viseur. J’en parlerai un de ces jours dans la rubrique « parlons photographie ».
Dans la foule, une apparition soudaine, surnaturelle : les percussions des « Mulekêtu », qui ont mis une sacrée ambiance sur le port. La foule autour était si dense que je n’ai pu prendre que cette image au vol.
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Pour finir, une conversation sous les voiles : finalement, c’est ça, la fête du chant de marins !
Je prépare un tableau d’ensemble de mes photographies de cette fête. Revenez sur le blog, je le poste d’ici quelques jours.