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Cap-hornier

Le cargo Artemis échoué sur la plage des Sables d’Olonne a fasciné les visiteurs, et déjà donné lieu à l’édition de cartes postales. Les épaves nous attirent toujours, et nous parlent : d’où viennent-elles, quel parcours ont-elles suivi pour nous, quelles histoires viennent-elles nous raconter ?

Épave à MoguériecUn bout, un bidon, un engin de pêche, un emballage qui parle une langue inconnue… Même un vieil emballage prend une dimension poétique.

À Moguériec, une sandale de prisunic, coincée à mort entre deux rochers. Vient-elle de la plage toute proche, ou a-t-elle fait trois tours du monde avant de se poser ici ? Trois fois le cap Horn, chapeau la godasse !

Ci-dessous, un tour de Bretagne vous montre quelques échantillons d’épaves : un tronc colonisé par des pousse-pieds (pouce-pieds ? Enfin, des anatifes, quoi) à Saint-Jean du Doigt, une balise à Treffiagat, un bout d’aussière en baie des Trépassés, près de la pointe du Raz, un flotteur de filet de pêche à Trévou-Tréguinec.

Pouce-pieds sur un tronc d'arbre à Saint-Jean du Doigt

Balise échouée sur la plage de Treffiagat

Aussière en baie des Trépassés

Flotteur à Trévou-Tréguinec

Une réflexion au sujet de « Cap-hornier »

  1. J’adore, toujours aussi génial

    Kénavo

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